Lorsque des jeunes, ou
même des enfants, se blessent eux-mêmes, cela peut entraîner des sentiments
d'impuissance, de peur, de confusion ou même d'inquiétude dans leur entourage.
Ici nous parlons des parents, des familles, des travailleurs sociaux ou encore
des enseignants.
Nous souhaitons donner un aperçu du thème des comportements à risques et d’automutilation
chez les adolescents.
Notre structure peut être comparée à un centre d’accueil d’urgence CAU ou bien un centre de premier accueil CPA en Belgique.
Je m'appelle Mélanie et je travaille depuis 3 ans dans le secteur de la petite enfance. Actuellement, je travaille dans une crèche avec des enfants âgées de 18 mois à 3 ans.
Les professionnels du secteur social sont de plus en plus confrontés à la problématique des comportements autodestrcuteurs face à leur public.
N'etant pas directement confrontée à cette problématique, je suis d'avis que ce projet est utile et bénéfique pour sensibiliser les professionnels face à l'automutilation et pour ainsi donner des moyens comment accompagner leurs bénéficiaires dans le travail quotidien.
Je m'appelle Samy et je suis éducateur diplômé. Depuis 8 ans, je travaille dans le secteur de la petite enfance. Actuellement, je suis engagé dans un institut d’accueil intégrer pour les enfants de familles de réfugiés encore appelés demandeurs de protection. Pour l'instant, j'accompagne des enfants de 11 à 12 ans.
Notre institution donne la possibilité aux enfants des demandeurs de protection internationale, de suivre une scolarisation spécialisée à leurs besoins. Notre structure assure une éducation et un enseignement psychomotrice aux enfants et propose en plus une intégration dans le système scolaire et social luxembourgeois.
Notre projet sur le sujet de la prévention face à l'automutilation, m’a permis de voir mes bénéficiaires selon différents angles et ma vision d'un accompagnateur est en accord avec ceux-ci. Cette expérience a réellement constitué un bagage qui m’a donné l’envie de partagé avec vous.